mercredi 26 novembre 2008

Piqûre de rappel

Avis à la population:
VENDREDI 28/11 19H30
QHANTATI
en CONCERT à l'UNESCO à PARIS!!!
(non je ne radote pas! Je racole?... oui, peut-être... je suis payée par Qhantati?... euh... non mais je vais y penser!)
Allez-y nombreux, et pensez à ceux qui n'y seront pas...
(je lance d'ailleurs un grand concours, celui du meilleur récit du concert! A gagner... euh... je vais y réfléchir.... chuflay??)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Que dire? Tant le contraste était grand entre les deux parties et assez significative à mon avis de l'expression de l'écart qui peut exister entre deux civilisations, surtout quand l'une se mêle de contracter un lien avec l'autre.
La première partie m'est apparue (vision très personnelle)comme la volonté sincère et pleine d'efforts de démontrer qu'il pouvait y avoir un lien entre notre conception occidentale historique de la musique que l'on qualifiera ici de "classique" et la culture musicale de l'Amérique Latine en général et des Andes en particulier.Je ne sais pas ce qui a présidé au choix de l'oeuvre interprétée par des européens qui se sentaient sans aucun doute solidaires par passion ou autres raisons des grands événements historiques qui ont présidés à la grande mais difficile histoire de la colonisation de L'amérique du Sud. Mais force est de constater que la qualité de l'interprétation de la deuxième partie, la volonté de respect rigoureux qui émanait de chaque pas de danse et de chaque mouvement des musiciens accompagnant la sincérité de l'interprétation authentique, suffisait sans emphase et avec la force du sang, à démontrer que ces peuples n'ont pas besoin de comparaison pour prouver l'existence de leur identité et de leur grandeur. Cependant, c'est bien d'avoir pu observer les deux facettes de la réalité, entre l'intérêt que l'on peut porter à l 'histoire de la musique des Andes avec ses nécessaires limites culturelles, cela mis en parallèle avec l'existence authentique de cette musique avec le défaut, regretté de tous, de sa mise hors contexte géographique( je n'étais pas le seul à m'imaginer sur place), mais qui a su captiver nos sens et nous faire percevoir ce je ne sais quoi d'indéfinissable que seuls les esprits sincères savent transmettre.
Les QHANTATI sont quand même vraiment bons.
Y avait même un flûtiste!...