Il faut absolument que je vous tienne au courant de ce que mon estomac ingurgite avec bonheur chaque midi et qui risque fort de surprendre ceux qui me connaissent: je veux parler de la soupe. Il est vrai qu’en France, la soupe n’est pas ma tasse de thé, mais celles de Cochabamba n’ont rien de comparable. Je vais de suite vous les décrire, en attendant de pouvoir, peut-être, vous donner quelques recettes.
A Cochabamba, la soupe, c’est sacré, et c’est nourrissant. Au fond de votre assiette de soupe vous trouverez des aliments de base. Au choix:
-quinoa
-riz
-pâtes
-chuño (pomme de terre de couleur noire qui a été déshydratée et séchée au soleil.C’est plutôt une spécialité de l’Altiplano)
-maïs (il y en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs mais le plus courant c'est le mote, de gros grains blancs tout à fait délicieux et qu'on peut même croquer à toute heure de la journée comme une friandise)
A Cochabamba, la soupe, c’est sacré, et c’est nourrissant. Au fond de votre assiette de soupe vous trouverez des aliments de base. Au choix:
-quinoa
-riz
-pâtes
-chuño (pomme de terre de couleur noire qui a été déshydratée et séchée au soleil.C’est plutôt une spécialité de l’Altiplano)
-maïs (il y en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs mais le plus courant c'est le mote, de gros grains blancs tout à fait délicieux et qu'on peut même croquer à toute heure de la journée comme une friandise)
-mani (une sorte de cacahuete)
-j’ai même hier trouvé de la papaye
Ensuite, des constantes:
-quelques fèves
-une ou deux pommes de terre
-un morceau de viande qui peut être du poulet ou du boeuf par exemple.
Quant au bouillon, il peut être de différentes couleurs et différentes textures: plutôt épais, velouté, ou bien liquide; avec des herbes comme le persil ou d’autres que l’on n’a pas en France et qui lui donnent une couleur verte, ou bien rouge orangé que l’on peut mélanger avec du fromage (de vache, mais dont la texture rappelle celle de la féta).
Et puis pour terminer ce délicieux chapitre sur la soupe, il faut dire que celle ci ne serait rien sans la llajua, cette succulente sauce piquante faite avec du locoto (sorte de piment) frais et écrasé, toujours présente sur la table et que l’on ajoute à tous les plats pour leur donner leur vraie saveur locale.
Il me semble que j’ai dû vous mettre l’eau à la bouche. Malheureusement je ne peux pas vous en dire plus pour le moment car les recettes et les astuces se trouvent bien cachées dans le secret des cuisines de Cochabamba…
-j’ai même hier trouvé de la papaye
Ensuite, des constantes:
-quelques fèves
-une ou deux pommes de terre
-un morceau de viande qui peut être du poulet ou du boeuf par exemple.
Quant au bouillon, il peut être de différentes couleurs et différentes textures: plutôt épais, velouté, ou bien liquide; avec des herbes comme le persil ou d’autres que l’on n’a pas en France et qui lui donnent une couleur verte, ou bien rouge orangé que l’on peut mélanger avec du fromage (de vache, mais dont la texture rappelle celle de la féta).
Et puis pour terminer ce délicieux chapitre sur la soupe, il faut dire que celle ci ne serait rien sans la llajua, cette succulente sauce piquante faite avec du locoto (sorte de piment) frais et écrasé, toujours présente sur la table et que l’on ajoute à tous les plats pour leur donner leur vraie saveur locale.
Il me semble que j’ai dû vous mettre l’eau à la bouche. Malheureusement je ne peux pas vous en dire plus pour le moment car les recettes et les astuces se trouvent bien cachées dans le secret des cuisines de Cochabamba…
1 commentaire:
Miam! Il faut dire que ces soupes-là ont l'air d'être un peu plus appétissantes que la traditionnelle poireau-pomme de terre! J'espère que tu vas bien ma belle, je pense à toi très fort.
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