jeudi 8 janvier 2009

Encore un!

Et voilà, Aldea Selva l'avait prédit, la nature argentine n'est pas plus indulgente envers les pollueurs que le désert africain. La malédiciton du Paris-Dakar a encore frappé. Dysfonctionnement de l'organisation, malchance selon le directeur de la course, bien sûr. Il a dû trouver le temps long le motard, seul dans la pampa en attendant que des secours viennent le chercher. Très au point sur la médiatisation, beaucoup moins sur la sécurité, c'est bien connu. La nature se venge, recevront-ils enfin le message?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je connais un peu ce monde (ce qui explique que ce pin's, rareté à l'époque réservée alors aux membres de l'organisation, soit en ma possession. Parenthèse supplémentaire, cet objet sort des ateliers du médailler Arthus Bertrand qui a fréquenté assidûment les épreuves et qui maintenant photographie la planète du haut de son hélicoptère pour faire entendre une cause écologique.)Je voulais donc dire que, pour ma part, la croyance en l'accomplissement d'une discipline reste le moteur de cet événement, comme beaucoup d'autres événements sportifs similaires de notre société occidentale. Cela me semble rester sèchement le plus souvent à l'état de croyance , le résultat ayant généralement du mal à me faire avaler que l'utopie est concrétisée.