Il y a un an j'étais à Cochabamba, et depuis tout ce temps j'ai beaucoup écrit sur cette expérience riche d'enseignements et de sensations, entre autres sur le blog mais aussi sur des cahiers, des résumés, récits de mon voyage, reflexions personnelles, quelques rimes et de la prose. Seulement il faut parfois admettre que les choses peuvent être mieux dites par d'autres, peut-être parce que lorsqu'on est touché de près on ne trouve pas les mots. Alors voici le texte et la traduction d'une chanson qui s'intitule "Balada a Cochabamba" -dont j'ignore l'auteur mais que j'ai entendue la veille de mon départ par le groupe Canto Popular (cf il y a un an déjà, sur ce même blog...). Ces mots m'ont ensuite accompagnée sur l'aéroport, dans l'avion, en survolant la ville et en la voyant s'éloigner. Depuis la mélodie me reviens chaque fois que mon esprit s'échappe vers Cochabamba. J'aurais aimé écrire cette chanson!
BALADA A COCHABAMBA
Hoy me alejo de ti, oh Cochabamba
Digo adiós pero sé que volveré
En tus calles hay sol y llueve mi alma
Una triste canción te dejaré
Aquí dejo una flor, una esperanza
Un paisaje, un amor que mío fue
De tus calles me voy, oh Cochabamba
Pero sé que jamás te olvidaré
Digo adiós y me llevo el color de tus cielos en mis ojos nublados
Al Tunari nevado, al paseo del Prado y la plaza Colón
Digo adiós y te dejo en el último beso de un enamorado
El deseo callado de estar a tu lado con esta canción
Cuántas noches contigo viví mi alegría, también mi tristeza
Y aprendí de tus mesas la noble franqueza que da la amistad
Es por eso que hoy te canto y mi copa levanto por tantos amigos
Y al partir yo te digo salud Cochabamba con esta canción
Nunca me hiciste sentir en tus calles como un forastero
Es por eso que quiero dejar en tus brazos mi humilde cancion
Me voy, me voy pero me llevo tu nombre tan dulce, grabado por siempre
Y el recuerdo caliente que deja tu gente aquí, aquí en mi corazón
Digo adiós y me llevo el color de tus cielos en mis ojos nublados
Al Tunari nevado, el paseo del Prado y la plaza Colón
Digo adiós y te dejo en el ultimo beso de un enamoradoEl deseo callado de estar a tu lado por siempre jamás
Hoy me alejo de ti, oh Cochabamba
Digo adiós pero sé que volveré
En tus calles hay sol y llueve mi alma
Una triste canción te dejaré
Aquí dejo una flor, una esperanza
Un paisaje, un amor que mío fue
De tus calles me voy, oh Cochabamba
Pero sé que jamás te olvidaré
Digo adiós y me llevo el color de tus cielos en mis ojos nublados
Al Tunari nevado, al paseo del Prado y la plaza Colón
Digo adiós y te dejo en el último beso de un enamorado
El deseo callado de estar a tu lado con esta canción
Cuántas noches contigo viví mi alegría, también mi tristeza
Y aprendí de tus mesas la noble franqueza que da la amistad
Es por eso que hoy te canto y mi copa levanto por tantos amigos
Y al partir yo te digo salud Cochabamba con esta canción
Nunca me hiciste sentir en tus calles como un forastero
Es por eso que quiero dejar en tus brazos mi humilde cancion
Me voy, me voy pero me llevo tu nombre tan dulce, grabado por siempre
Y el recuerdo caliente que deja tu gente aquí, aquí en mi corazón
Digo adiós y me llevo el color de tus cielos en mis ojos nublados
Al Tunari nevado, el paseo del Prado y la plaza Colón
Digo adiós y te dejo en el ultimo beso de un enamoradoEl deseo callado de estar a tu lado por siempre jamás
(Photo:emi)
Aujourd’hui je m’éloigne de toi, oh Cochabamba
Je te dis au revoir mais je sais que je reviendrai
Dans tes rues le soleil brille et mon âme pleure
Une chanson triste je te laisserai
Ici je laisse une fleur, un espoir
Un paysage, un amour qui fut mien
De tes rues je m’éloigne, oh Cochabamba
Mais je sais que jamais je ne t’oublierai
Je te dis au revoir et j’emporte la couleur de ton ciel dans mes yeux humides
Le Tunari enneigé, le paseo du Prado et la place Colon
Je te dis au revoir et je te laisse dans le dernier baiser d’un amoureux
Le désir secret d’être à tes côtés avec cette chanson
Combien de nuit avec toi j’ai vécu ma joie, aussi ma peine
Et j’ai appris de tes tables la noble franchise de l’amitié
C’est pourquoi aujourd’hui je te chante et je lève mon verre à tant d’amis
Et en partant je te dis santé ! Cochabamba avec cette chanson
Jamais tu n’as fait de moi un étranger dans tes rues
C’est pourquoi je veux laisser dans tes bras mon humble chanson
Je pars, je pars mais j’emporte ton nom si doux, gravé pour toujours
Et le souvenir chaleureux qu’on laissé tes gens ici, ici dans mon cœur
Je te dis au revoir et j’emporte la couleur de ton ciel dans mes yeux humides
Le Tunari enneigé, le paseo du Prado et la place Colon
Je te dis au revoir et je te laisse dans le dernier baiser d’un amoureux
Le désir secret d’être à tes côtés à tout jamais
Je te dis au revoir mais je sais que je reviendrai
Dans tes rues le soleil brille et mon âme pleure
Une chanson triste je te laisserai
Ici je laisse une fleur, un espoir
Un paysage, un amour qui fut mien
De tes rues je m’éloigne, oh Cochabamba
Mais je sais que jamais je ne t’oublierai
Je te dis au revoir et j’emporte la couleur de ton ciel dans mes yeux humides
Le Tunari enneigé, le paseo du Prado et la place Colon
Je te dis au revoir et je te laisse dans le dernier baiser d’un amoureux
Le désir secret d’être à tes côtés avec cette chanson
Combien de nuit avec toi j’ai vécu ma joie, aussi ma peine
Et j’ai appris de tes tables la noble franchise de l’amitié
C’est pourquoi aujourd’hui je te chante et je lève mon verre à tant d’amis
Et en partant je te dis santé ! Cochabamba avec cette chanson
Jamais tu n’as fait de moi un étranger dans tes rues
C’est pourquoi je veux laisser dans tes bras mon humble chanson
Je pars, je pars mais j’emporte ton nom si doux, gravé pour toujours
Et le souvenir chaleureux qu’on laissé tes gens ici, ici dans mon cœur
Je te dis au revoir et j’emporte la couleur de ton ciel dans mes yeux humides
Le Tunari enneigé, le paseo du Prado et la place Colon
Je te dis au revoir et je te laisse dans le dernier baiser d’un amoureux
Le désir secret d’être à tes côtés à tout jamais
1 commentaire:
COCHABAMBA
Salì para Cochabamba
Antes que sea carnaval
Y en busca de mi cholita
Urpichallay
Y buscando a mi cholita
En totora la encontré.
Ya se van los peregrinos
Urpichallay
Ya llega mi despedida
Y es hora que me vaya.
Creo que me iré mañana
Urpichallay
Creo que me iré mañana.
Por tu ausencia lloraré.
Ya volveré a Cochabamba
Urpichallay
Ah! ces cochabambinos qui quittent leur cité à la recherche de leur colombe!:-)
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